Département droit public, Centre des études doctorales, Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales, Université Moulay Ismail, Meknès, Morocco
L’Etat constitue la pièce maitresse du système politique, ce dernier est inhérent au système social, à la société dont il est un aspect. Il faut dire que le système politique n’est pas né ex nihilo, il fait partie d’un ensemble plus vaste et plus complexe; il est « politiquement » le plus important, certes, surtout pour l’étude de L’Etat objet de cette recherche. Cette dernière qui constitue le noyau dur du système politique. En effet, le système politique est constituée par le pouvoir politique dont l’Etat est le siège et l’ensemble de l’environnement social, notamment avec les partis politiques. L’évolution de la notion de l’Etat dans le temps nous permet de déterminer les principales étapes et passages, de l’Etat gendarme, à L’Etat minimal en passant par L’Etat providence et L’Etat animateur. Il faut dire que l’univers politique est un champ de bataille dont l’objet est le pouvoir politique et L’Etat siège de ce pouvoir, permet de prendre les décisions déterminantes pour la société. Pour que telles décisions soient légitimes elles doivent être conformes à la volonté du groupe social: tel est le problème de la démocratie.
L’Etat constitue la pièce maitresse du système politique, ce dernier est inhérent au système social, à la société dont il est un aspect. Il faut dire que le système politique n’est pas né ex nihilo, il fait partie d’un ensemble plus vaste et plus complexe; il est « politiquement » le plus important, certes, surtout pour l’étude de L’Etat objet de cette recherche. Cette dernière qui constitue le noyau dur du système politique. En effet, le système politique est constitué par le pouvoir politique dont l’Etat est le siège et l’ensemble de l’environnement social, notamment avec les partis politiques. L’évolution de la notion de l’Etat dans le temps nous permet de déterminer les principales étapes et passages, de l’Etat gendarme, à L’Etat minimal en passant par L’Etat providence et L’Etat animateur. Il faut dire que l’univers politique est un champ de bataille dont l’objet est le pouvoir politique et L’Etat siège de ce pouvoir, permet de prendre les décisions déterminantes pour la société. Pour que telles décisions soient légitimes elles doivent être conformes à la volonté du groupe social : tel est le problème de la démocratie.
Political participation is at the heart of democratic life. This notion is at the dawn of all civilizations; it is certainly at the end of the 18th century that, with the progressive establishment and consolidation of liberal democracy, it takes on the meaning that we know it today. Nevertheless, during these two hundred years of history, modern democratic life has undergone a great evolution and renewal of practices and concepts. the idea of participation is enshrined in the very reality of public action based on a dual technical and political requirement. The changing nature of public policy explains why it is often necessary to motivate actors whose adherence to policy objectives is essential. Thus, behind the term participation are hidden many and various realities. The interest, however, of going beyond this observation in order to put in perspective the plurality of the participations, the forms and the explanations of the variations.
Le monde urbain peut être appréhender et analyser suivant cinq ordre de réalités caractérisant les théories classique; il s’agit de la ville comme ordre morphologique, la ville comme ordre politique, la ville comme ordre naturel, la ville comme ordre interpersonnel et enfin la ville comme ordre psychologique. Toutefois Vincent kaufmann pense qu’il est nécessaire de dépasser ses théories classiques dans la mesure attendu qu’elles postulent plus au moins implicitement que la vie urbaine est enchainée dans des territoires aux frontières certes multiples, mais nettes et relativement solides, et elles affirment que la ville serait douée de la capacité de faire unité et société. Il ne s’agit de nier les différents ordre (morphologiques, politique, naturel interpersonnel) mais de la nécessité pour une théorie urbaine de comprendre le monde urbain en mouvement en répondant à trois principes :d’abord considérer la matérialité de la ville tout en prenant en compte les différentes logiques d’action des citadins, ensuite dépasser la conception aréolaire et statique de l’espace pour laisser apparaitre un espace réticulaire et rhizomique, et enfin se focaliser sur les mouvements de la ville tout en distinguant la notion de mobilité de celle de fluidité, tout en évitant d’éviter le développement des théories exclusives et totalisantes et d’occulter les relations heuristiques entre la réflexion et l’analyse théorique et la recherche empirique.
The concept of civil society does not have an official definition. It is a fuzzy and controversial concept which, like that of an NGO to which it is often associated, has nevertheless succeeded in becoming generalized, this forming an integral part of the vocabulary of politicians and social actors both in the North and South. is not new nor its meaning has undergone some evolution over time, recently the concept taken on a new dimension with what is commonly called "the emergence of global civil society" as well nowadays when we talk about society civil society refers mainly to NGO and formal or informal popular movements that act as counter-powers to the government. We often speak (civil society organizations) showing the heterogeneity that characterizes it, the evolution of this concept shows the rise of the role of civil society as an actor of international governance.
Les problèmes urbains sont une excellente porte d’accès aux problèmes sociaux. Toute action sur la ville est aussi, inévitablement une action sur le social, sur le politique et sur l’économique, du fait qu’elle nécessite la mobilisation de tous ces secteurs et qu’elle modifie la situation existante.
Au fil des années, diverses idéologies se sont greffées sur la question urbaine pour expliquer les causes des dysfonctionnements sociaux, politiques et économiques. Il faut se souvenir que la « recette » conseillé dans les années 60 aux pays du Sud pour sortir de la crise politique était « croissance d’abord, démocratie après », tandis qu’actuellement on parle de « démocratie d’abord, croissance après », cela correspond, en fait très exactement aux objectifs des grandes puissances occidentales.
Cette politique est présentée de façon abusive comme la « one best way » et comme la condition incontournable de la démocratie. La situation urbaine actuelle nous permet de constater ses limites, mais, la construction d’une alternative économiquement crédible et socialement responsable se heurte à des difficultés idéologiques importantes et, reste, souvent prisonnière des vieilles recettes imposées.
The city policy unlike urban policy aims to rebuild the pieces of the stigmatized city located mostly to the peripheries of cities. Indeed, those who formulated the policy of the city, trying to apply a new public policy articulated around socializing ideology. The cognitive dimensions of these decisions aim to create socially harmonious cities, egalitarian and free from the concrete contractors of selfishness and greed architects and interest.
New city policies are experiences to create an integrated man, released from its bellicose provisions in a city increasingly oppressive and dangerous. Max Weber pointed out that the city is not a natural thing, but is the result largely of urban policies, streamlining processes, and even bureaucracy. We must streamline the city knowing that the regulatory planning and planner are exceeded; it must therefore, help the development of sustainable cities, make possible the participation of the population, and allow modest citizens to live in decent material conditions.